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An Antonio Brizzi
Monsieur,
Monseigneur le Duc est très faché de voir évanouir l'espérance de Vous posséder plus longtemps. Pour moi je me trouve dans le même cas. Cependant Vos engagemens Vous appellent alieurs, il [392] faut bien céder, et ce n'est qu'avec regret, que nous Vous verrons partir après la seconde représentation d'Achille. Soyez persuadé, que le souvenir des belles soirées que Votre double talent nous a procuré ne sortira pas de notre memoire, et que je cesserai jamais de m'avouer...
Jena le 26. Novembre 1811.
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